lundi 30 juillet 2012

Le handicap comme un atout de grande valeur

Le handicap comme un atout de grande valeur J'aimerais vous présenter l'être le plus extraordinaire que j'ai connu. Je l'ai vu pour la première fois quelques minutes après sa naissance. Sa petite tête ne portait pas de trace d'oreilles. Le médecin déclara que l'enfant était sourd-muet à vie. Je refusai ce diagnostic. J'en avais le droit car j'étais le père de l'enfant, mais je ne dis rien. Je gardai mon opinion pour moi. Je décidai qu'un jour mon fils entendrait et parlerait. Dans mon esprit, je savais que mon fils pourrait devenir normal. J'étais sûr qu'il y avait une solution et je savais que je la trouverais. Je pensai aux phrases d'Emerson :
“L'évolution des choses nous enseignera la foi. Nous devrions seulement obéir. Il y a des conseils pour chacun de nous, et en écoutant simplement, nous entendrons le mot juste.”
Le mot juste ? DÉSIR ! Plus que tout au monde, je DÉSIRAIS que mon fils fût normal. Je n'ai jamais reculé, même pas une seconde, grâce à ce DÉSIR. Quelques années auparavant, j'avais écrit :
“Nos seules limitations sont celles que nous nous nous sommes fixées dans, nos propres esprits.”
Pour la première fois, je me demandai si cette phrase était vraie car le mensonge sur le lit, devant moi, était un enfant qui venait de naître, et n'avait aucun équipement d'audition. Même s'il pourrait entendre et parler un jour, il serait évidemment défiguré toute sa vie. Mais cet enfant n'avait sûrement pas installé cette limitation dans son propre esprit. Qu'est-ce que je pourrais faire ? D'une façon ou d'une autre, je devais trouver une manière de faire passer mon propre DÉSIR ARDENT dans l'esprit de cet enfant et de lui faire entendre un bruit sans l'aide des oreilles. Lorsqu'il fut un peu plus grand pour coopérer et que son esprit fut rempli par le DÉSIR ARDENT d'entendre, ce désir se transformait en réalité physique. Toutes ces pensées furent dans mon propre esprit, mais je n'en parlai à personne. Tous les jours, je me répétais l'engagement que j'avais pris vis-à-vis de moi-même : faire de mon fils un être normal. Lorsqu'il fut un peu plus grand et commença à s'intéresser aux objets qui l'entouraient, nous remarquâmes qu'il entendait très faiblement. À l'âge où les enfants commencent habituellement à parler, il n'essayait même pas de bredouiller, mais nous savions par ses actions qu'il entendait vaguement quelques sons. C'était tout ce que je voulais savoir !J'étais convaincu que s'il pouvait entendre, même faiblement, il pourrait développer son ouïe. Et un jour cet espoir se trouva confirmé d'une manière entièrement inattendue. L'enfant entendait... Nous achetâmes un phonographe. Quand l'enfant entendit de la musique pour la première fois, il fut tout émerveillé et accapara rapidement l'appareil. Un jour, il fit tourner le même morceau pendant presque 2 heures, debout devant le phonographe, les dents soudées au bord du coffre. Plus tard, nous apprîmes que l'os est bon conducteur du son et c'était la raison de cette attitude. Peu de temps après, j'ai découvert qu'il m'entendait parfaitement lorsque je parlais en appuyant les lèvres sur l'os mastoïde à la base de son crâne. C'était le moment de transférer dans son esprit mon désir ardent. Comme il aimait beaucoup qu'on lui racontât des histoires, j'en inventai les histoires qui devaient développer sa confiance en lui, son imagination et un désir ardent d'entendre et d'être normal. À son histoire préférée, je donnais, chaque fois que je la contais, une nouvelle intensité dramatique. Elle avait pour but de lui faire comprendre que son infirmité n'était pas un boulet mais un atout de grande valeur. Malgré le fait que toutes les philosophies m'aient enseigné clairement que TOUT MALHEUR PORTE LE GERME DE LA RÉUSSITE, je dois avouer que je ne voyais absolument pas comment sa surdité pourrait se transformer en atout. Pourtant, je continuai à inclure cette philosophie dans les histoires que je lui racontais, en espérant que le moment viendrait où je trouverais de quelle manière son infirmité lui permettrait d'atteindre un objectif utile. L'espoir et la foi m'avaient permis de continuer. En repensant à cette expérience, je me rends compte que l'étonnant résultat que nous obtînmes était avant tout du à la foi que mon fils mettait en moi. Il ne remit jamais en cause ce que je lui disais. Je le persuadais qu'il avait un avantage sur son frère aîné, et que cet avantage jouerait en sa faveur de plusieurs manières. Par exemple, à l'école, ses professeurs s'occuperaient davantage de lui et seraient très gentils. Et ce fut toujours le cas. Je lui dis également que lorsqu'il serait assez grand pour vendre des journaux (son frère plus âgé était déjà vendeur de journaux), les gens lui donneraient de plus gros pourboires parce qu'ils verraient qu'il était un garçon intelligent et courageux malgré sa surdité. Nous remarquâmes petit à petit que l'ouïe de l'enfant s'améliorait. Il n'avait jamais tenté de s'apitoyer sur lui-même à cause de son handicap. L'enfant prouva qu'un handicap n'est pas un obstacle Il avait environ 7 ans lorsqu'il nous prouva pour la première fois que notre façon de stimuler son esprit portait ses fruits. Pendant plusieurs mois, il voulait vendre des journaux mais sa mère s'y opposait. Elle avait peur que l'enfant ne soit pas en sécurité en allant seul dans les rues, à cause de sa surdité. Il décida finalement d'agir seul. Un après-midi où il était seul à la maison avec les domestiques, il sauta par la fenêtre de la cuisine, roula par terre et s'échappa. Il emprunta 6 cents au cordonnier, notre voisin, pour acheter des journaux, il les revendit, puis en racheta avec son gain et continua ainsi jusqu'à tard le soir. Après avoir fait ses comptes et avoir remboursé les 6 cents qu'il avait empruntés à son banquier, le bénéfice net était de 42 cents. Lorsque nous rentrâmes à la maison ce soir-là, il dormait dans son lit, serrant son argent dans sa main. Sa mère ouvrit sa main, enleva les pièces de monnaie et pleura. Pleurer à la première victoire de son fils semblait si inapproprié ! Ma réaction fut l'inverse : J'éclatai de rire parce que je voyais que j'avais enfin réussi à inculquer à mon enfant la confiance en soi. Sa mère voyait, dans cette première aventure, un petit garçon sourd qui errait seul dans les rues et qui risquait sa vie pour gagner de l'argent. Moi je voyais un petit homme d'affaires courageux, ambitieux et indépendant qui, en agissant ainsi, s'était moralement enrichi, parce qu'il avait tout fait de sa propre initiative, et avait gagné. J'étais satisfait par cette aventure parce qu'il s'était montré débrouillard et je pensais qu'il avait besoin de cette qualité toute sa vie. La suite des événements nous le prouva. Lorsque son frère aîné voulut quelque chose, il se coucha sur le plancher, donna des coups de pied dans le vide et pleura pour l'obtenir. Mais lorsque le “petit garçon sourd” voulut quelque chose, il trouva un plan pour gagner de l'argent et l'acheta lui-même. Et il agit toujours ainsi! Mon propre fils m'avait vraiment enseigné qu'un handicap n'est pas un obstacle mais une étape pour atteindre un but. Le désir commença à devenir une réalité Le petit garçon sourd fit toutes ses classes : l'école primaire, le collège, le lycée et l'université sans pouvoir entendre ses professeurs, sauf quand ceux-ci criaient fort près de lui. Nous ne voulûmes pas qu'il allât dans un établissement pour sourds ou qu'il apprît le langage des sourds-muets. Nous préférions qu'il vécût une vie normale avec les autres enfants normaux et nous persistâmes dans notre décision bien que nous dûmes nous battre plusieurs fois avec les autorités scolaires qui n'étaient pas de notre avis. À l'époque de ses études secondaires, il essaya un appareil électrique pour sourds, mais sans résultat. Quelques années plus tard, durant sa dernière semaine à l'université, il en reçut un autre mais il hésita longtemps avant de le tester de peur d'être déçu à nouveau. Finalement, il prit l'appareil, et plus ou moins négligemment le plaça sur sa tête, le mit en marche et MIRACLE ! Comme par magie, son RÊVE D'ENTENDRE NORMALEMENT SE RÉALISA ! Pour la première fois de sa vie, il entendait pratiquement aussi bien que les autres. Fou de joie, il se précipita au téléphone et appela sa mère. Il entendit parfaitement sa voix. Le lendemain, il entendait clairement les voix de ses professeurs, pour la première fois de sa vie !Il entendit les émissions à la radio ou à la télévision. Pour la première fois de sa vie, il pouvait converser librement sans que ses interlocuteurs dussent parler fort. Vraiment, un monde nouveau s'ouvrait à lui. Notre désir commença à devenir une réalité mais la victoire ne fut pas encore complète ! Le garçon dut encore trouver une manière définie et pratique pour transformer son handicap en un atout. Le garçon sourd trouva une bonne idée et l'exploita Réalisant encore difficilement tout ce qui avait déjà été accompli, mais fou de joie de découvrir ce nouveau monde de bruit, il écrivit une lettre au fabricant de l'appareil lui décrivant avec enthousiasme son expérience. Quelque chose dans sa lettre plut aux dirigeants de l'entreprise et il fut invité à New York. À son arrivée, il fut escorté jusqu'à l'usine de fabrication. Il rencontra l'ingénieur en chef et lui raconta le changement dans sa vie. À ce moment-là, une idée lui traversa l'esprit. Cette idée allait convertir son handicap en atout et le rendre riche et heureux à la fois. Il se rendit compte tout à coup qu'il pourrait venir en aide à des millions de malentendants qui ignoraient l'existence de ces appareils. À cet instant, il prit la décision de consacrer le reste de sa vie à rendre service aux gens ayant des problèmes d'audition. Durant un mois entier, il fit des recherches intensives dans ce sens. Il analysa le marché du fabricant et imagina un moyen d'entrer en contact avec les malentendants du monde entier afin de leur parler de sa nouvelle découverte qui pourrait aussi changer leur vie. Puis, il élabora un plan d'action pour les 2 prochaines années. Lorsqu'il présenta son plan à la compagnie, on lui proposa immédiatement un poste qui lui permettait de mener à bien son ambition. Il pensa qu'il était destiné à apporter l'espoir et le soulagement aux milliers de personnes malentendantes qui, sans son aide, auraient été condamnés à ne rien entendre toute leur vie. Peu de temps après, il m'invita à suivre une formation donnée par sa société pour apprendre aux sourds-muets à entendre et à parler. Je n'avais jamais entendu parler d'une telle formation , j'y participai, je fus sceptique mais pleine d'espoir de ne pas du tout gaspiller mon temps. C'est là qu'on me montra une méthode complète qui me rappela ce que j'avais fait pour aider mon fils à désirer une audition normale.

mardi 6 décembre 2011

APROFEHTO: World Report launch timed around International Day...

APROFEHTO: World Report launch timed around International Day...: World Report launch timed around International Day of Persons with Disabilities ...

World Report launch timed around International Day of Persons with Disabilities

people attending an event ©CBM
Participants at the launching of the world report on disability in Lome, Togo on November 29, 2011
The International Day of Persons with Disabilities is celebrated each year on 3rd December. This year particularly, in opening the celebration, CBM and its partners launched the World Report on Disability in Togo. The report was initially launched in New York on June 09, 2011, three years after the UN Convention on the Rights of Persons with Disabilities. In Lomé, Togo, many personalities such as CBM, Handicap International, the Ministry of Social Actions and National Solidarity, WHO, World Bank, FETAPH, the umbrella DPO of Togo, the German Ambassador, the Representative of France, the Representative of USA and many persons with disabilities took part in the event.

Mr Komivi Ayassou, President of the Association of Persons with Disabilities in Togo who was also the chairman of the ceremony, after welcoming the mass, thanked everyone for being there for the launching and also for their support toward persons with disabilities. He added at the end of all speeches that the presence of their partners gives them a strong signal that they will continue to advocate and help them to implement all recommendations that are made in the World Report on Disability. The event was animated by the “Happy Brothers”, a band composed of Persons with Disabilities and mostly blind person.

On the sidelines of the works, a press conference was held to present the program of activities planned to mark the International Day of Persons with Disabilities. Under the topic, "Together for a better world for all: including people with disabilities in development", this day will allow stakeholders to provide an opportunity to involve all interested communities to consider and encourage them to think of incentives and innovative measures for better implementation of international norms and standards concerning persons with disabilities.

open panel: Together for a better world for all: Including people with disabilities in development

open panel: From FETAPH Program Manager: Mr. Palacbawy Katachom

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International Day of Persons with Disabilities 2011

CBM joins this United Nations initiative, highlighting the rights and dignity of persons with disabilities worldwide

jeudi 1 décembre 2011

                    RAPPORT MONDIAL SUR LE HANDICAP

Les méssages principaux du rapport et le rapport complet sur le site 

:www.who.int/disabilities/report_report.Les copies de ce document sont

disponibles au département de la prévention de la violence et du traumatisme et

handicap(VIP),organisation mondiale de la

santé,20AvenueAppia,suisse.coorriel:mackenzier@who.int

Merci de visiter ce site pour plus d'informations sur le handicap .

jeudi 24 novembre 2011

BARIGUEYIMPAPEBLOG: Le « parquet » de Paris a refusé d'étendre à des ...

BARIGUEYIMPAPEBLOG:
Le « parquet » de Paris a refusé d'étendre à des ...
: Le « parquet » de Paris a refusé d'étendre à des faits récents l'enquête sur le « patrimoine » en France de trois présidents africains et ...

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APROFEHTO: h1 { margin-bottom: 0.11cm; }h1.western { font-fam...: Présentation de l’Association pour la Promotion de la Femme Handicapée au Togo (APROFEHTO) 1-Introduction Vues les conditio...


Présentation de l’Association pour la Promotion de la Femme Handicapée au Togo (APROFEHTO)

1-Introduction


Vues les conditions de vie difficiles dans lesquelles vivent les personnes handicapées en général et les femmes handicapées en particulier dans notre pays ;

Compte tenu de l’écart d’épanouissement qui existe entre les femmes valides, les hommes handicapés et les femmes handicapées ;

Vu la proclamation universelle des droits de l’Homme en 1948 qui prend toutes les mesures pour combattre toutes les formes d’exclusion et de discrimination ;

Vue la convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes adoptée par les Nations Unies

Vue la loi N°40-484 du 1er juillet 1901 autorisant la création des Associations ;

Les femmes handicapées du Togo ont jugé le moment opportun de se mettre en association pour travailler et lutter pour le bien être de toute femme handicapée sur le territoire.

Conformément à la loi de 1901 en vigueur au Togo autorisant la création d’association, il est créé au Togo, une organisation dénommée « Association pour la Promotion de la Femme Handicapée au Togo (APROFEHTO) ».

Elle est une association de droit togolais enregistrée au Ministère de l’Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation sous le N°5981/MI/S/D du 11 décembre 1997, domicilié à Lomé B.P 13142, quartier Hédjranawoé,
Tél. : 22 32 03 01 / 22 38 47 39 / 99 46 69 67 / 90 83 31 66 ;
e-mail : aprofehto@yahoo.fr

C’est une association apolitique à but non lucratif. Elle s’occupe du bien être physique, matériel et moral des femmes handicapées. Elle lutte pour la promotion, la réinsertion sociale et l’épanouissement des femmes handicapées.

Devise : « Je veux et je peux »

But

Améliorer les conditions de vie de la femme handicapée au Togo.

Objectifs

Les objectifs d’APROFEHTO sont :

  • Informer, sensibiliser et former ses membres ;
  • Défendre les intérêts matériels et moraux des femmes handicapées ;
  • Lutter contre les discriminations sociales ;
  • Œuvrer pour le bien-être physique, moral et économique de femm es ;
  • Promouvoir les activités génératrices de revenus (AGR) pour les femmes handicapées ;
  • Promouvoir l’épanouissement social et culturel des femmes ;
  • Promouvoir l’intégration sociale de la personne handicapée ;
  • Sensibiliser la communauté sur les droits des personnes handicapées
  • Renforcer les capacités de leader des femmes handicaPrésentation de l’Association pour la Promotion de la Femme Handicapée au Togo (APROFEHTO)pées.

Domaine d’intervention

  • Intervention auprès des autorités et personnes physiques ou morales susceptibles d’aider la femme handicapée ;
  • Organisation des activités de sensibilisation sur les grands évènements de l’heure dont le VIH/SIDA;
  • la scolarisation des jeunes filles et garçons handicapés ;
  • Soins médicaux et orthopédiques ;
  • Recherche et création des activités génératrices de revenus ;
  • Santé de reproduction.

Moyens d’intervention

  1. Les moyens pédagogiques :

  • Les causeries débats
  • Les séminaires
  • Les formations
  • Les émissions média
  • Les sensibilisations de mass
  • Les réunions ordinaires

  1. Les moyens humains :

  • L’Assemblée Générale
  • Les membres du CA : sept (07) membres dirigé par Madame LAWSON KOUEVI Chantal
  • La coordination : assurée par une salariée.

  1. Les moyens financiers

  • Les cotisations mensuelles
  • Les dons
  • Les subventions
Au cours des années, APROFEHTO mobilise auprès des membres, des partenaires et des bienfaiteurs, des fonds pour la réalisation de ses activités :
    • les cotisations des membres (fixée à100F Cfa /mois soit 1200Fcfa /an et par membre)
    • les subventions
    • les dons.
Les subventions occupent une grande partie, puis les AGR et les cotisations des membres.

  1. Les moyens matériels

Avec l’appui de la fédération FETAPH, Handicap International et d’autres partenaires, aujourd’hui le siège de APROFEHTO est équipé du matériel suivant : un ordinateur, une imprimante et une ligne téléphonique.

Zone d’intervention :

L’association est basée à Lomé mais travaille sur l’étendue du territoire togolais. Toutefois ces actions sont prioritairement exécutées dans la région maritime.

Principales activités:

  • Recherche de fonds à travers la soumission des projets
  • Formation des responsables pour le renforcement de capacité
  • Information/sensibilisation des membres sur les grands évènements de l’heure.
  • Plaidoyer auprès des autorités
  • Réalisation d’AGR (Activités Génératrices de Revenus) ;
  • Appui à l’apprentissage des métiers ;
  • Installation des femmes handicapées formées ;
  • Appui à l’équipement des femmes handicapées en matériel de déplacement (fauteuils roulants, tricycles, cannes).
  • Appui conseils aux femmes handicapées

Bénéficiaires

  • Les membres de l’association
  • Les Femmes handicapées
  • Les enfants des femmes handicapées
  • Les familles des femmes handicapées

Partenaires

  • FETAPH (Fédération Togolaise des Associations de/pour Personnes Handicapées)
  • Direction des Personnes handicapées
  • Handicap International
  • Organisations des Personnes Handicapées
  • INNER WHEEL
  • PNUD
  • CBM










Partenaires
Type de partenariat
Activités réalisées
Date de réalisation
FETAPH
Appui institutionnel
Distribution de fourniture scolaire

Formations en écriture de projet et sur d’autres thématiques
De 2002 à 2008
Projet parasol

Projet d’installation d’une couturière et d’une coiffeuse

Projet moulins

Dotation de matériels informatique et de bureau
2006 et 2009
Célébration de la journée mondiale de la femme
2008, 2009, 2010, 2011
Projet mercerie
2010
Appui conseils
A tout moment




Direction des Personnes Handicapées
Appuis techniques et conseils
Célébration de la journée mondiale de la femme
2008, 2009, 2010, 2011




Handicap International
Appui institutionnel
Projet Femme Handicapée et Sida

Projet Place de la femme handicapée dans le monde d’aujourd’hui

Renforcement des capacités en sensibilisation et en plaidoyer
2009, 2010, 2011
Projet plaidoyer pour l’intégration de l’écriture braille et du langage des signes dans les écoles de formation des instituteurs
2009
Projet accessibilité des églises catholiques
2010
Projet sensibilisation sur le droit professionnel aux syndicats de coiffures
2011
Formation en informatique
2009




INNER WHEEL
Appui financier
Projet Femme handicapées, santé de reproduction et droits de l’homme
2008




PNUD
Appui financier
Célébration de la journée internationale de la femme
2008




Les Organisations de Personnes Handicapées
Appui conseils
Pour les différents projets
A tout moment




CBM
Appui institutionnel
Célébration de la journée mondiale de la femme
2010, 2011
Voyage d’échanges au Nigeria
2011













Analyse de la situation

Forces
Faiblesses
  • L’effectif des membres de l’association
  • L’existence des ressources humaines
  • L’existence de quelques compétences
  • L’unique association de femmes handicapées
  • La volonté manifeste des membres
  • Existence d’un bureau (siège)
  • Existence de matériels de bureau
  • Existence des textes juridiques
  • Capacité de montage de projets
  • Siège partiellement opérationnel
  • Insuffisance d’adhésion (territoire non couvert)
  • Niveau d’étude bas des membres
  • Membres majoritairement analphabètes
  • Faibles revenus des membres
  • Insuffisance de cotisations
  • Insuffisance de compétences pour le montage de projets
  • Manque de leadership féminin au rang des femmes handicapées
  • Insuffisance de fonctionnement des organes
  • Manque de moyens techniques et financiers
  • Peu de projets financés
  • Inexistence de partenaires financiers
  • Insuffisance de professionnalisme
  • Manque de conseils techniques pour le fonctionnement
Opportunités
Menaces
  • Appartenance au réseau des associations de personnes handicapées
  • Appartenance au réseau de femmes
  • Départ des ressources humaines disponibles
  • Création d’autres associations de femmes handicapées à caractère national